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autoBiographie de Pierre Bottero

 
Je suis né le 13 février 1964 à Barcelonnette dans les Alpes de Haute Provence mais, très jeune, je suis descendu vivre dans les Bouches du Rhône.
Marié, père de trois filles, je suis instituteur même si, aujourd'hui, on dit professeur des écoles. J'enseigne dans le village où j'habite, Pélissanne, qui est un lieu encore préservé, au pied des collines provençales où j'aime courir et faire du VTT.
Flammarion Castor Poche a publié mes premiers textes et, si nous continuons à collaborer pour de nouveaux romans, je travaille également avec l'équipe de Rageot Editeur avec laquelle je viens de finaliser un gros projet : La quête d'Ewilan, une trilogie fantastique.
Le bonheur d'être auteur m'a donné l'occasion de découvrir au fil des projets, salons, colloques, rencontres, des gens passionnés et passionnants, lecteurs (jeunes et moins jeunes), éditeurs, organisateurs, bibliothécaires… qui attisent mon envie d'écrire et m'incitent à poursuivre. L'aventure ne fait que commencer…

 

Bio de Luc Besson

Luc besson
Luc besson 

Luc Besson passe son enfance dans les îles avec ses parents, professeurs de plongée au Club
Méditerranée. Il veut suivre leurs traces, mais un accident de plongée l'en empêche. Luc Besson
 se tourne alors vers le cinéma : il est stagiaire sur plusieurs tournages dont ceux de Loulou
et de Deux lions au soleil. Il est également assistant sur Les Bidasses aux grandes manoeuvres
et réalisateur de seconde équipe sur Le Grand carnaval.

Après avoir mis en scène le court métrage L'Avant dernier (1981), il fonde avec Pierre Jolivet
une maison de production : Les Films du Loup. C'est via cette société que Luc Besson réalise en
 1983 un film de science-fiction, Le Dernier combat, nommé aux César. Il enchaîne, deux ans plus
 tard, avec le polar moderne Subway, un projet laissé à l'abandon en 1981. Les sous-sols du
métro parisien sont le théâtre des aventures de deux stars de l'époque : Christophe Lambert et
Isabelle Adjani.

Mais c'est avec la déferlante du Grand bleu que Luc Besson obtient son premier véritable succès
 public, et ce malgré les critiques assassines dont cet hommage déguisé au plongeur Jacques
Mayol fait l'objet lors de sa présentation au Festival de Cannes 1988. Luc Besson retrouvera
le monde de la mer trois ans plus tard pour Atlantis, un documentaire muet mis en musique par
le compositeur Eric Serra, complice du cinéaste.

En 1990, Luc Besson fait de sa compagne d'alors, Anne Parillaud, l'héroïne du film policier
Nikita. Sa poignante prestation de tueuse à gages vaudra à la comédienne le César de la Meilleure
 actrice. Dans le même registre, il imagine son acteur fétiche Jean Reno dans un rôle de
"nettoyeur", celui de Léon en 1994. Ce carton au box-office lui permet de mettre en oeuvre un
projet très ambitieux, le futuriste Cinquième élément (1997), avec un budget colossal de 90
millions de dollars et un casting international composé de Bruce Willis, Gary Oldman et Milla
Jovovich. Celle-ci campera deux ans plus tard la Jeanne d'Arc de Luc Besson.

Au tournant des années 2000, le cinéaste décide de délaisser la caméra pour se consacrer
essentiellement, via sa société EuropaCorp, à la production d'oeuvres souvent descendues par la
 critique mais encensées par le public comme la saga Taxi ou celle du Transporteur. Il lance de
 nouveaux talents comme Chris Nahon (Le Baiser mortel du dragon, 2001), Louis Leterrier (Danny
the dog, 2005) ou Pierre Morel (Banlieue 13, 2004), et devient un partenaire de choix pour
financer des productions internationales telles que Revolver (2005) de Guy Ritchie et Trois
enterrements (id.) de Tommy Lee Jones.

Passé maître dans l'art de se faire désirer, Luc Besson retourne à la réalisation avec deux
films aux registres diamétralement opposés : l'adaptation du livre pour enfants Arthur et les
Minimoys et la comédie romantique Angel-A tournée dans le plus grand secret à Paris.
 

 

Romans de Danniel Pennac

Le grand Rex Editions du Centurion 1980
Cabot caboche Nathan et Pocket jeunesse 1982
L'oeil du loup Nathan 1984
Au bonheur des ogres Collection Folio, Gallimard 1985
La fée carabine Collection Folio, Gallimard 1987
La petite marchande de prose Collection Folio, Gallimard 1989
Comme un roman Collection Folio, Gallimard 1992
Kamo et moi Gallimard jeunesse 1992
Kamo, l'agnece Babel Gallimard jeunesse 1992
Kamo, l'idée du siècle Gallimard jeunesse 1993
Sang pour sang, le réveil des vampires Gallimard 1993
Miro: Le tour du ciel Pennac La petite collection 1994
Monsieur Malaussène Collection blanche, Gallimard 1995
Monsieur Malaussène au théatre Gallimard Blanche 1996
Vercors d'en haut; La réserve naturelle des Hauts Plateaux Milan - Baux livres 1996
Messieurs les enfants Collection blanche, Gallimard 1997
Des Chrétiens et des maures Collection blanche, Gallimard 1997
Lévasion Kamo Gallimard jeunesse 1997

 

Bio de Danniel Pennac

 

Daniel Pennac est né, en 1944, au Maroc, dans une famille de militaire. Il as passé son enfance
 au gré de garnisons en Afrique et en Asie du Sud-Est, avant d'obtenir, à Nice, une maîtrise de
 lettres et d'opter pour l'enseignement.

Ses premiers romans étaient des romans burlesques et des livres pour enfants. Lors d'un séjour
au Brésil et à la suite d'un pari, il découvrit la "Série noire". C'est ainsi qu'en 1985 son
premier livre, Au bonheur des ogres, de cette série d'aventure de Benjamin Malaussène fit sa
sortie.

Daniel PENNAC est né en 1944 à Casablanca. La profession de son père, polytechnicien devenu
militaire par goût du voyage, l’amène à résider dans différents pays d’Afrique et d’Asie du
sud-est pendant son enfance (Djibouti, Ethiopie, Indochine...).

Il vit ensuite dans le sud de la France, obtient son premier poste d’enseignant en 1970 à
Soissons, avant de s’installer définitivement à Belleville, quartier populaire et cosmopolite
de Paris qui constitue le cadre de sa saga des Malaucène qui a établit sa notoriété. Il était
jusqu’à récemment professeur de lettres, et tient à garder un contact avec l’école en allant y
présenter ses romans.

Daniel PENNAC fut pensionnaire de la cinquième à la terminale, et acquiert très tôt le goût de
la littérature, encouragé en cela par son père et son grand frère. Il évoque régulièrement le
souvenir de ses lectures de jeunesse, parmi lesquelles figurent La saga de Gösta Berling de
Selma Lagerlof, Guerre et paix de Tolstoï, ainsi que les oeuvres de Dostoïevski, Lermontov,
Thomas Hardy et Shakespeare.

Il publie son premier livre à l’âge de 25 ans, un essai sur le service militaire pour lequel
il prend le pseudonyme de PENNAC pour ne pas « gêner son père ». Il écrit ensuite des livres
pour enfants, après avoir décidé de privilégier le plaisir du récit par rapport à la volonté
de faire "sens".

« Quand on veut être romancier, il faut raconter des histoires. (...) Qu’ensuite ces histoires
génèrent du sens ou pas, c’est l’affaire du lecteur et éventuellement celle de l’auteur de
distiller le sens qu’il veut. Mais ce qui me plaît, c’est de faire plaisir en racontant des
histoires. » (Les Inrockuptibles, janvier-février 1992, n°33, p.128-133).

 

Bio de George Lucas

George Lucas
George Lucas 

Elevé dans un ranch de Modesto en Californie, George Lucas se destine initialement à une carrièr
 de pilote automobile. Après un terrible accident, il change d'orientation (mais conservera son
 goût pour les voitures, comme en témoigne son American Graffiti) et entre à l'université de
Californie du Sud (USC), où il étudie le cinéma, ainsi que les contes, légendes et mythologies.
 Passionné par le montage et le documentaire, le jeune cinéaste impressionne en réalisant
THX-1138 : 4EB (Electronic Labyrinth), un court métrage de science-fiction qu'il adapte en
long métrage en 1970. Produit par Francis Ford Coppola -que Lucas avait rencontré en tournant
le making-of de sa Vallée du bonheur (1968)- THX 1138 ne rencontre malheureusement pas le succès escompté.

Trois ans plus tard, George Lucas délaisse la SF pour tourner American Graffiti, comédie
dramatique et nostalgique portée par de jeunes Ron Howard, Richard Dreyfuss et Harrison Ford.
 Les droits de Flash Gordon lui échappant, il planche parallèlement sur une saga intergalactique
 mêlant quête initiatique, mondes merveilleux, mythologie et combats spatiaux, véritable
hommage aux sérials de eon enfance composé à l'origine de neuf épisodes : ce sera Star wars,
ou le destin d'Anakin Skywalker et de son fils Luke au sein d'une galaxie déchirée par la
guerre civile. Aucun studio ne semble toutefois prêt à s'investir dans le projet, et seule la
Twentieth Century Fox, encouragée par le succès d'American Graffiti et ses cinq nominations aux
 Oscars, accepte de mettre à la disposition du metteur en scène un solide budget de 8 millions
de dollars.

Lancé dans un véritable tournage marathon entre la Tunisie et l'Angleterre, George Lucas doit
alors faire face aux doutes d'une équipe peu convaincue par ce qu'elle considère comme un
"film pour enfants", et à la pression d'un studio inquiété par les dépassements de budget et
les délais non tenus. Lucas et les techniciens d'Industrial Light & Magic (ILM, sa société d'
effets visuels fondée en 1975 pour le film) travaillent alors jour et nuit pour terminer un film
 qui ne semble pas convaincre les producteurs de la Fox, persuadés que le film sera un échec.
Le 25 mai 1977, La Guerre des étoiles sort sur quelques écrans américains. C'est un raz-de-marée
 sans précédent, et le film, véritable révolution technologique, devient en moins d'un an le
plus gros succès de tous les temps et modifie profondément le monde du cinéma. Devançant le
phénomène, George Lucas rachète les droits des suites à la Fox, ainsi que ceux des produits
dérivés, créant un véritable empire via sa société Lucasfilm ltd.

Laissé très fatigué par le tournage de Star wars : Episode IV - Un nouvel espoir, George Lucas
confie les rennes de Star wars : Episode V - L'Empire contre-attaque (1980) à Irvin Kershner,
puis du Star wars : Episode VI - Le Retour du Jedi (1983) à Richard Marquand, mais reste néanmoins
 le seule et unique maître à bord du vaisseau Star Wars. Il devient par ailleurs l'un des
producteurs majeurs d'Hollywood, et met en chantier la trilogie Indiana Jones, réalisée par
son complice Steven Spielberg. Très intéressé par la technologie, George Lucas oeuvre paral-
lèlement sur de nombreuses innovations majeures de l'industrie cinématographique via ILM, comme
 le son THX, les caméras assistées par ordinateur et l'utilisation des images de synthèses.


En 1994, convaincu par les dinosaures de Jurassic Park, Lucas décide de se repencher sur l'
univers Star wars et de conter les trois épisodes précédant Star wars : Episode IV - Un nouvel
espoir. En 1997, vingt-deux ans après son dernier film (!), il réalise Star wars : Episode I
- La Menace fantôme (1999), suivie en 2002 par Star wars : Episode II - L'Attaque des clones
et en 2005 par Star wars : Episode III - La Revanche des Sith. Par ailleurs, et souvent au
grand désespoir des fans, il continue de modifier sa saga selon sa vision, en proposant
notamment une version DVD retouchée du Star wars : Episode VI - Le Retour du Jedi dans
laquelle il incruste le comédien Hayden Christensen, héros de sa nouvelle trilogie.


Tout en travaillant sur le futur de Star wars à travers la série animée Star Wars :
Clone wars et un projet de série télé live, George Lucas envisage, une fois La Revanche des
Sith sortie, de revenir au cinéma expérimental de ses débuts.

 

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